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SHOEN (Uemura), deux femmes - BUSH (Kate), wuthering heights



SHOEN (Uemura), deux femmes - BUSH (Kate), wuthering heights
(taille reelle)
Uemura SCHOEN - deux femmes ()


Si tu es pressé, fais un détour

Proverbe japonais

Uemura SCHOEN - deux femmes
Les femmes qu’elle représente ne sont pas des objets dépeints à travers le prisme du regard masculin, la peintresse se focalise au contraire sur leur intériorité. La passivité leur est inconnue : en ajoutant des touches de piment rouge sur leurs oreilles et le bout de leur doigts, l’artiste indique qu’elles ressentent, expérimentent. Si elle représente des maiko (apprentie geisha) et des geishas, c’est pour mettre l’accent sur la beauté de leur art et de leur discipline.
Du courant Nihonga, dans un style traditionnel qui refuse les apports picturaux de la modernité occidentale, elle privilégie les personnages féminins d'un grand raffinement. Shōen Uemura est une peintre japonaise de la première moitié du vingtième siècle. Elle est née à Kyoto en 1875. Elle fait ses études dans sa ville natale, où elle a Takeuchi Seihō comme professeur.

Illustr musicale: Kate BUSH - wutherings heights
Kate Bush écrit la chanson à l'âge de 16 ans après avoir vu l'adaptation cinématographique de 1970 du roman Les Hauts de Hurlevent d'Emily Brontë (en anglais : Wuthering Heights) et notamment les dernières minutes du film. Elle affirmera avoir écrit la chanson en seulement quelques heures, tard dans la nuit, en regardant la Lune à travers une fenêtre de sa chambre pour trouver l'inspiration. Les paroles sont ouvertement inspirées des pensées de Catherine Earnshaw, le personnage principal du roman, aussi bien dans les chœurs (Bush reprend la célèbre phrase, « Let me in ! I'm so cold ! ») que dans les couplets qui reprennent la confession de Catherine avouant à sa servante qu'elle a des cauchemars (« Bad dreams in the night »).
Les Hauts de Hurlevent est l'unique roman d'Emily Brontë, Récit à la fois insolite et atroce, Les Hauts de Hurlevent s'impose comme un roman aux personnages cruels. Loin d'être moralisateur, le récit s'achève néanmoins dans une atmosphère sereine, suggérant le triomphe de la paix et du Bien sur la vengeance et le Mal.